C’est une confiserie très ancienne, aussi appelée « nougat de foire » découverte dans un des premiers livres de Lenôtre. A l’origine il sagit simplement de caramel et de cacahuettes apéro, le coté sucré et la pointe salée des arachides rendent cette sucrerie très addictive mais offrir à Noël des douceurs maison est un bon pretexte !

Je fais le caramel en versant du sucre cristalisé dans une poêle anti-adhésive sur feu moyen -pas d’eau-. Ne surtout pas remuer avec une cuillère en bois ou une spatule, juste éventuellement à la fin, donner avec le manche des mouvements de rotation pour que tout le sucre se soit bien caramélisé.

Recette AGA : Pour faire le caramel sur l’AGA, je démarre sur la plaque très chaude -celle de gauche- et je passe ensuite sur celle de droite pour maitriser la fin.

à votre tour de faire et goûter les deux et on fera un sondage ;-D

Pour la confiture de lait, soit vous laissez cuire la boite fermée 3 / 4 heures dans une grande casserole d’eau bouillante (petite ébulition). Ou alors à la cocotte minute, la boite fermée, couverte d’eau, on ferme et quand ça siffle, on laisse encore tourner une heure (pas plus cette fois).

Dans les deux cas attendre une heure avant d’ouvrir la boite de lait.

issue de nos récentes recherches, bien aidées par Pauline*, Trish et Martha, voici un premier résultat :

A moins que faire un caramel ne vous effraye, c’est d’une simplicité redoutable,

Attention quand même en incorporant le beurre en morceaux aux éventuelles projections, mais tournez bien sans vous laisser impressionner par le caramel qui tente de se faire passer pour un dragon.

En fonction de la quantité de crème que vous ajoutez, vous ferez varier la consistance de toffee (un c. à s. plutôt rase) à sauce (2 bien bombées) -dans les deux cas une tuerie-

(spéciale dédicace à Loïc)

j’ai emprunté (et légèrement retouché) à Amy Atlas l’un de ses Merveilleux gateaux pour fêter avec Panache ma copine Chris :

Happy Birthday Christelle !

Clo, s’est copieusement moquée de moi….
…mais j’ai tenu bon, je l’ai fait quand même!

une corbeille au crochet, mise en forme au sirop de sucre, comme quand j’étais petite… oui, je sais, c’est pas très connoté fashion, mais le résultat est plutôt convainquant (enfin selon mes critères bien sûr)

Modèle improvisé sur un grand saladier, au fil de coton vert, avec un crochet 4,5 (ça va très vite)

Rigidifié au sirop de sucre (200g de sucre pour 20cl)… ça marche, mais je suis éventuellement preneuse d’une autre méthode, si quelqu’un à des suggestions à faire (attention, il faut que ça se démoule facilement, je tiens à mon saladier)

Il était question cette année d’un voyage en écosse, qui finalement n’a pû se faire, Mais les copains en ont glissés des éclats dans un joli sac gourmand…

Merci à vous tous, c’était vraiment sympa (en plus d’être délicieux) ! Il ne reste plus une miette de shortbreads, il a donc bien fallu faire face

Rien de compliqué dans cette recette, il ne faut juste pas étaler la pâte trop finement (1,5cm d’épaisseur) et ne pas faire dorer les biscuits, plutôt les « secher » ils doivent rester blonds.

Ils se consevent très bien dans une boite en fer.

Mercredi + soleil + frisket = goûter réconfortant… alors pour changer du gâteau au chocolat, voici le Pudding, le plus simple, celui parfumé à la vanille, au kirsh ou à la fleur d’oranger (non, pas les 3 à la fois !) .

Ces derniers temps j’ai tendance à augmenter la quantité de lait, la faisant passer d’un demi litre à 3/4 de litre pour un résultat croustillant sur le dessus et à l’intérieur plus moelleux, plus fondant et finalement plus près du pain perdu (pas à ce point tout de même) que du diplomate.

Je vous indique "environ une baguette" pour être honnête… je n’ai pas une idée présice de la quantité de pain : tant que ça rentre dans le saladier, que le mélange lait-oeuf imbibe… je continue à vider ma boite à pain

Alors moi -Clo- je destester patouiller dans le saladier, alors je trouve que temps et fourchette font mieux que force et déraison… Chris, elle,  pense exactement l’inverse. Nos pudding ne se ressemblent pas, mais ça n’est pas pour ça. C’est juste un mystère de la cuisine.

Précision, mon saladier doit correspondre à mon moule puisqu’au final, j’ai toujours le même gâteau.

Et aussi : tasser la préparation dans le moule avant d’enfourner.

C’est la même recette que les coookies de Chris (ceux que ses enfants croient qu’elle sort d’un paquet plein de sur-emballages) sauf que ce jour là je n’avais pas du tout envie de séparer le jaune des blancs, plus de plaquette de chocolat et pratiquement plus de farine non plus mais encore un peu d’extrait de vanille maison…. ah oui ? je ne vous ai pas donné la recette ???

Bon, et bien même avec la moitié des ingrédients en moins, la texture est géniale, très biscuits secs à tremper dans le thé…

Je suis très peu de blogs cuisine… c’est probablement mal et certainement inavouable… mais bon, tant pis c’est comme ça… mais il y en a un que je suis de (très) près en Decembre (particulièrement) c’est « Beau à la louche » je ne vous apprends certainement rien, c’est un « gros » blog très suivit, et Loukoum est tellement précise dans ses explications que la réussite est assurée (pour de vrai, si je cherche une recette, je fouille en premier chez elle avant de demander à Marmiton). Et en Decembre chez Beau à la louche, les recettes de brédélés se suivent et…font très envie !

Samedi dernier, Marguerite avait son après midi d’inscription au théatre, RDv à 14h… avec Goûter. Il était 13h 55 quand je me suis rappelée ce détail !!! Une recette de « macarons » m’avait fait de l’oeil chez Loukoum quelques jours auparavant, ils étaient intitulés « les macarons de Clotilde » mais là non seulement je n’avais pas de poudre de noisette, mais en plus, pas le temps de peser… alors hop hop hop, j’ai fait (presque) au pif et nous sommes parties à 14h10. il n’en est pas resté un seul au fond de la boite

Détail, la prof est allergique au gluten et cette recette n’en contient pas

encore une version de ce dessert mythique qui d’un parfum à l’autre n’est plus vraiment le même :